Le tour de la vallée de la Pielach à pied (Pielachtaler Rundwanderweg)

Partagez cet article

Après les randonnées de ville de Vienne (Stadtwanderwege), le tour de Vienne à pied (rundumadum) et le tour à pied de la Wachau, il était temps de retrouver un sentier de grande randonnée avec des tampons et une récompense à la fin. Je me suis ainsi éprise durant l’année qui vient de s’écouler de la vallée de la Pielach, une vallée peu connue et qui se trouve pourtant non loin de Vienne. Il s’agit de la première vallée très vallonnée qu’emprunte le train menant à Mariazell depuis St. Pölten. Après avoir quitté le train, on se retrouve très vite dans les bois et au milieu de vastes prairies, allant de fermes isolées en fermes isolées et croisant beaucoup plus de vaches que de gens sur notre chemin. Dépaysement garanti ! La vallée de la Pielach est également appelée « Dirndltal », la vallée de la « Dirndl » ! Il ne s’agit pas d’une référence au vêtement traditionnel, mais du nom que l’on donne en Autriche à la cornouille, une petite baie rouge avec laquelle on produit principalement sirops, liqueurs, confitures et eaux-de-vie. Je vous invite bien sûr à y goûter, c’est succulent, et à vous rendre à la fête qui lui est dédiée.

Je vais commencer par vous donner quelques informations générales pour vous aider à organiser ces sorties rando et partager ensuite avec vous mes impressions et recommandations pour chacune des 9 étapes de la boucle.

Le tour de la vallée de la Pielach fait officiellement 115 kilomètres et forme une grande boucle entre Ober-Grafendorf et Laubenbachmühle (aperçu du parcours). J’ai pour ma part mesuré 10 kilomètres de plus, mais si j’ajoute les distances faites pour rejoindre les arrêts du train, j’ai marché en tout près de 164 kilomètres. Ces trajets en plus se déroulent sur des chemins et de petites routes tranquilles, exactement comme la grande randonnée. On ne perçoit même pas la différence en termes de chemins et de paysages. Les étapes sont plus ou moins difficiles, mais aucune d’elle n’est extrêmement difficile. On ne rencontre aucun passage qui pourrait être dangereux et les côtes assez fortes ne sont jamais très longues. On peut vraiment profiter de cette randonnée à chaque saison, et c’est ce que j’ai fait, mais je ne vous la recommande pas l’été par fortes chaleurs car plus de la moitié du parcours se trouve en plein soleil. La vallée est magnifique à l’automne au moment où les couleurs sont les plus fortes, mais pour ma part je l’ai préférée avec de la neige au sol et en avril quand l’herbe est très verte. L’itinéraire empruntant très peu de sentiers, on peut vraiment en profiter par temps de neige. Je vous recommande bien sûr de toujours porter des chaussures de randonnées pour éviter quelque glissade. Les étapes 4, 5 et 6 nous mènent le plus en altitude et sont les plus difficiles, mais elles nous offrent les plus beaux panoramas. Si vous comptez vous rendre dans l’une des rares auberges qui ponctuent l’itinéraire, pensez à vérifier avant si elles sont ouvertes car elles sont peu nombreuses.

Le balisage et les tampons

Le Pielachtaler Rundwanderweg est extrêmement bien balisé dans les deux sens par de petits panneaux de bois portant le numéro 652, celui de cette grande randonnée. S’il n’y a pas de petits panneaux, il suffit de suivre les marquages rouges classiques peints sur arbres, poteaux, roches… Quand la végétation est importante, il se peut que les petits panneaux soient cachés par des branches, soyez en alerte à chaque croisement (un réflexe que vous développerez de toute façon naturellement en faisant la randonnée).

 

Pour préparer sa sortie, voir les dénivelés et avoir la fiche pour collecter les 15 tampons qui parsèment l’itinéraire, il vous suffit de commander la brochure gratuite au bureau d’information du Pielachtal. Sur le site officiel de la rando, vous pouvez également télécharger son tracé GPS. Si vous voulez avoir avec vous une bonne vision d’ensemble et peut-être redécouper les étapes différemment, je vous recommande vraiment d’acheter la carte de randonnée de Freytag & Berndt (celle de la brochure n’est pas précise du tout) : Carte de randonnée (Wanderkarte) WK031 « Ötscherland » à l’échelle 1 : 50 000, 2022 € 12,90. Je me doute que vous pouvez aussi utiliser des applications de randonnée mais n’en utilisant pas, je ne saurais laquelle vous recommander. Notez toutefois qu’il n’y a souvent pas ou peu de réseau sur les chemins empruntés.

En ce qui concerne les tampons, on les trouve sur le chemin dans de petites boîtes en bois très mignonnes. Si jamais le tampon était défectueux, vous trouverez à l’intérieur un nombre à inscrire à la place sur votre fiche. Une fois la fiche complète, il faut l’adresser à l’office de tourisme du Pielachtal si vous souhaitez recevoir le certificat de la grande randonnée. Je vous avoue avoir été déçue au départ qu’il n’y ait aucun pin’s ou aucune épingle de randonnée à la clé, mais ce certificat avec mon nom dessus m’a finalement autant réjoui que les petites récompenses métalliques.

Les vaches

On en croise beaucoup sur notre chemin car on traverse de nombreux prés. En ce qui me concerne, j’adore ça, ça me rappelle mon enfance étant fille d’éleveurs. Si vous n’en avez pas l’habitude, rassurez-vous, aucun incident ne devrait se produire, mais il faut prendre certaines précautions. J’ai traversé une grande quantité de prés seule et n’ai eu aucun souci et aucune frayeur. Les vaches que nous croisons sont des vaches à lait. Elles sont donc très habituées aux gens. Elles sont aussi habituées aux chiens, mais si le vôtre n’est pas habitué aux vaches, faites très attention. S’il y a des veaux, surtout ne les approchez pas, les mamans peuvent devenir agressives. Un bâton de rando dans la main peut vous rassurer mais ne pas le pointer vers les animaux. Le mieux est de leur faire la conversation, elles adorent et apprécient toutes les langues. Ne courrez pas et ne cherchez pas à jouer avec elles, car ce sont toujours elles qui gagnent. Et surtout, refermez bien les portes des prés derrière vous si elles étaient fermées car même si vous ne les voyez pas, les vaches peuvent être rassemblées dans un petit coin du pré. Enfin si ce genre de rencontre vous effraie, faites la rando entre début octobre et fin mars, vous ne les croiserez alors que dans leurs étables.

Comment s’y rendre ?

Si vous êtes en voiture, je vous recommande de vous rendre d’abord au lieu d’arrivée en fonction de l’horaire du train, qui vous mènera au point de départ. Vous serez ainsi plus flexible sur la fin. Pour ma part, j’y suis toujours allée en transports en commun et cela se fait très facilement. Le trajet prend 1 à 2h depuis Vienne suivant l’endroit où l’on se rend dans la vallée de la Pielach que ce soit en voiture ou en train avec un changement en gare de St. Pölten. Entre St. Pölten et le lieu de départ ou d’arrivée de la randonnée, on emprunte le Mariazellerbahn, un train super mignon et confortable qui mène à Mariazell. Sur notre trajet, il y a un train toutes les heures. Notez qu’en gare de St. Pölten, le Mariazellerbahn est caché au bout du quai n°1 et que pour descendre ou monter à l’un de ses arrêts il faut appuyer sur « Haltewunsch », sauf s’il s’agit d’une gare. Horaires des trains.

 

Pensez aussi aux billets avantageux, que l’on peut utiliser dans le Mariazellerbahn. Il faudra toutefois faire attention à prendre un train régional entre Vienne et St. Pölten, ce qui rallonge un peu le voyage, mais en attendant l’un ou l’autre train, vous pouvez faire un tour dans le centre de St. Pölten. Pensez aussi à l’option chauffeur. Quelqu’un de votre entourage pourrait être ravi de venir vous chercher à la fin de votre randonnée dans la vallée de la cornouille.

Je vous propose maintenant un aperçu de chaque étape et de la manière dont j’ai organisé mes 9 sorties. Elles ne correspondent pas exactement aux 9 étapes de la brochure car je les ai découpées en fonction des arrêts les plus accessibles du Mariazellerbahn.

Etape 1 : Ober-Grafendorf – Hofstetten-Grünau

13,7 km (13 km sur la 652). La première étape n’est pas difficile du tout. Elle ne comprend aucune côte importante et on atteint assez rapidement les champs, les prairies, les bois et les fermes isolées, soit tout ce qui rythme chaque étape de la grande randonnée. Une partie de l’étape comprend un parcours dédié à la star de la vallée, la « Dirndl ». On trouve ainsi ça et là des jeux et des informations pour tout savoir de la cornouille. Très amusant et intéressant.

Départ : Gare d’Ober-Grafendorf

Arrivée : Arrêt de Hofstetten-Grünau, situé à 700 mètres de la 652, que l’on suit jusqu’à l’église de Grünau.

Tampons : Un devant la Gasthaus Buder—Hehal au lieu-dit Baumgarten et un au lieu-dit Eck.

Autre arrêt du Mariazellerbahn qui peut être rejoint depuis l’étape : Klangen.

Etape 2 : Hofstetten-Grünau – Rabenstein an der Pielach

9,2 km (5,5 km sur la 652). Il s’agit de la toute première étape que j’ai faite. Elle vous semble sûrement bien courte par rapport aux autres. Je l’ai en effet découpé ainsi pour me rendre à la fête de la cornouille, le « Pielachtaler Dirndltag », qui avait lieu à Rabenstein en septembre 2022. Je vous invite bien sûr à associer ces deux activités, mais notez que la fête aura lieu cette année à Kirchberg. Tout ce vert et ces vallons m’ont vraiment donné envie de faire le tour de la vallée en entier. On aperçoit même le mont Ötscher et son sommet enneigé. L’étape ne comprend elle aussi pas de côtes importantes. Pour rejoindre Rabenstein depuis le chemin 652, suivez le tracé de la rando n°4 marqué en rouge sur la carte. Sur place, on rejoint la pointe du bois se trouvant dans le bas de la grande prairie après Gnauöd. On suit ensuite les marquages rouges, et aussi ceux qui sont jaunes et bleus. Ils mènent jusqu’à l’arrêt de Rabenstein.

Départ : Arrêt de Hofstetten-Grünau, situé à 700 mètres de la 652, que l’on rejoint à l’église de Grünau.

Arrivée : Arrêt de Rabenstein an der Pielach, situé à 3 km de la 652, que l’on suit jusqu’au carrefour des chemins de randonnées juste après Gnauöd.

Tampons : Un à côté de la Gasthaus sur la place de l’église de Grünau et un au lieu-dit Gnauöd.

Autre arrêt du Mariazellerbahn qui peut être rejoint depuis l’étape : Mainburg an der Pielach.

Etape 3 : Rabenstein an der Pielach – Schwerbach

16,5 km (9 km sur la 652). Ce fut une de mes étapes préférées car il venait de bien neiger. Personne en vue et des étendues d’un blanc immaculé. Cette étape comprend quelques bonnes côtes et surtout une longue descente pour rejoindre Schwerbach. Je pense qu’au niveau panoramas elle est aussi très intéressante et que l’on peut apercevoir le mont Ötscher, mais le brouillard ne m’a pas permis d’en juger. Pour rejoindre la 652, quand vous retrouvez la grande prairie, rejoignez le bois situé au-dessus, vous y trouverez une marque rouge et il faudra longer un peu ce bois avant d’y rentrer. Pour rejoindre Schwerbach, suivez sur la carte le chemin n°7 puis le n°2 marqué en rouge. Sur place, suivez les panneaux indiquant les chemins 5/7 puis 5/2 et le marquage jaune et bleu. Faites juste attention après une ferme où se termine le chemin bitumé et où vous traversez ensuite un grand pré, regardez bien à la pointe du bois, les panneaux de rando y ont été bousculés. Il faut longer le bois sur votre gauche puis y rentrer (si vous ne le remarquez pas comme moi, pas de souci, vous retrouverez de toute façon la route en traversant les prairies).

Départ : Arrêt de Rabenstein an der Pielach, situé à 3 km de la 652, que l’on rejoint au carrefour des chemins de randonnées juste avant Gnauöd.

Arrivée : Arrêt de Schwerbach, situé à 4,5 km de la 652, que l’on suit jusqu’au carrefour des chemins de randonnées avant Füllion.

Tampon : Au point culminant de Luft à 628 mètres d’altitude.

Autre arrêt du Mariazellerbahn qui peut être rejoint depuis l’étape : Kirchberg an der Pielach.

Etape 4 : Schwerbach – Burg Plankenstein

19 km (13,5 km sur la 652). Pour faire cette étape et la suivante, je suis restée dormir sur place dans la forteresse de Plankenstein. Celle-ci a été largement restaurée et transformée en hôtel-restaurant. Je voulais vraiment dormir dans ses vieux murs plutôt que de chercher un chauffeur et n’ai pas été du tout déçue. On peut également visiter la forteresse avec la visite guidée quotidienne de 10h qui est en allemand (gratuit avec la Niederösterreich-CARD). Quelques côtes assez longues pour rejoindre la 652. On retrouve un chemin très pentu en lacet qui peut effrayer quand on est devant pour grimper en haut du Grüntalkogel, mais il se monte bien plus vite qu’il n’en a l’air. Je le déconseille toutefois par temps de neige et de fortes pluies. Le Grüntalkogel est l’un des sommets les plus hauts de la grande randonnée (886 mètres d’altitude). On le redescend juste après et la pente est assez raide mais offre des points de vue magnifiques dont un superbe sur le mont Ötscher. Pour rejoindre Burg Plankenstein, prenez à droite au deuxième carrefour de petites routes après le Grüntalkogel. Il vous suffit de suivre la route pour arriver à la forteresse. Sur cette portion de route, vous pouvez aussi prendre un chemin balisé en rouge qui est un raccourci à travers bois et part juste après la première maison isolée située sur votre gauche. Il s’agit aussi de l’une de mes étapes préférées.

Départ : Arrêt de Schwerbach, situé à 4,5 km de la 652, que l’on rejoint au carrefour des chemins de randonnées après Füllion.

Arrivée : Burg Plankenstein, situé à moins d’1 km de la 652, que l’on suit jusqu’au carrefour avec la route au lieu-dit Eck.

Tampon : Sur un monticule après avoir passé une croix située au lieu-dit Schwabeck.

Autre arrêt du Mariazellerbahn qui peut être rejoint depuis l’étape : Schwarzenbach an der Pielach.

Etape 5 : Burg Plankenstein – Boding

19,7 km (17,5 km sur la 652). Cette étape est également l’une de mes préférées. Elle est à mon sens la plus belle quant aux vues panoramiques qu’elle offre, notamment sur l’Ötscher qui vient sublimer une succession de collines verdoyantes très imposantes. Seul bémol à mon goût, elle se déroule principalement sur de petites routes bitumées. Faites attention en utilisant la carte de rando, la représentation de la 652 après Hausstein n’est pas correcte. En chemin, on peut visiter un musée dédié à l’agriculture de montagne, le Bergbauern Museum (téléphoner à l’avance pour le visiter) et la grotte Nixhöhle (gratuit avec la Niederösterreich-CARD). Pour rejoindre l’arrêt de Boding, continuez simplement à longer la route quand vous voyez le grand panneau indiquant le Gasthof Lichtensteg sur votre gauche. Notez que si vous continuez sur la 652, la gare de Laubenbachmühle se trouve à 3,7 km de marche.

Départ : Burg Plankenstein, situé à moins d’1 km de la 652, que l’on rejoint au carrefour avec la route au lieu-dit Eck.

Arrivée : Arrêt de Boding, situé à 500 mètres de la 652.

Tampons : Un à Hörbarten et un au lieu-dit Hausstein.

Autre arrêt du Mariazellerbahn qui peut être rejoint depuis l’étape : Frankenfels.

Chemin correct marqué au surligneur orange

Etape 6 : Boding – Schwarzenbach

20 km (19,5 km sur la 652). Là encore deux étapes que j’ai fait en dormant sur place dans une petite pension très sympathique à Schwarzenbach, la pension Hochreiter, à deux pas du tampon, où j’ai pu goûter la cornouille en sirop et en confiture. Excellent ! Il s’agit de l’étape culminante de la grande randonnée, à un peu plus de 900 mètres d’altitude, et on en profite bien. Elle comprend quelques bonnes côtes. Notez que l’étape n’est pas dessinée correctement sur la carte de rando jusqu’à ce que vous ayez passé la Almhaus Eibeck. La gare de Laubenbachmühle vaut le détour. C’est là qu’on entretient wagons et locomotives du Mariazellerbahn et on peut tout voir grâce aux parois vitrées du garage. A l’intérieur aussi une grande maquette représentant toute la ligne de train et les monts qu’elle traverse, et des panneaux d’information sur le Mariazellerbahn et sur le mont Ötscher et son parc naturel. On marche surtout sur de petites routes bitumées mais on rencontre quelques sentiers qui ajoutent littéralement parlant un peu de piquant avec deux ou trois passages très brefs (5 à 20 mètres de long) pris dans les hautes herbes, les orties et parfois aussi les ronces, alors pensez bien à mettre un pantalon et des chaussures fermées. Ces sentiers pourraient être difficile à emprunter en cas de neige.

Départ : Arrêt de Boding, situé à 500 mètres de la 652.

Arrivée : Schwarzenbach (au centre du village non loin de l’église).

Tampons : Un devant la gare de Laubenbachmühle et un à Schwarzenbach au bord de la Pielach.

Autre arrêt du Mariazellerbahn qui peut être rejoint depuis l’étape : Laubenbachmühle.

Etape 7 : Schwarzenbach – Kirchberg

20,2 km (17,7 km sur la 652). Il s’agissait de la toute dernière étape que j’ai faite et je dois dire que c’était magnifique de terminer ainsi avec quelques bonnes côtes. On passe par un très grand nombre de fermes isolées et on croise plusieurs gros arbres isolés qui ponctuent un paysage très ouvert avec des collines à perte de vue. Pour deux passages très courts, un pantalon et des chaussures fermées étaient là aussi plus agréables en raison des orties et des ronces. A Loich, la petite supérette Nah&Frisch dispose d’une grande terrasse abritée et d’un distributeur avec boissons et petites collations, pratique et confortable. En gare de Kirchberg, si vous avez le temps avant votre train, profitez du petit musée qui y est installé, le Modellbahnmuseum Mariazellerbahn (gratuit avec la Niederösterreich-CARD). Il abrite une reconstitution miniature de la ligne de train et des paysages qui l’environnent. On peut y mettre en route les différents modèles de train que connut la ligne. Superbe ! La boutique propose entre autres quelques produits confectionnés avec de la cornouille, l’occasion de repartir au moins avec une bouteille de sirop pour faire diabolos et Spritzer. Pour rejoindre Kirchberg depuis la 652, suivez le chemin n°8 en rouge sur la carte. Il longe le ruisseau de Sois jusqu’à l’entrée de Kirchberg.

Départ : Schwarzenbach (au centre du village non loin de l’église).

Arrivée : Gare de Kirchberg an der Pielach, située à 2,5 km de la 652, que l’on suit jusqu’à ce que notre route croise celle du ruisseau de Sois.

Tampon : Dans Loich au bord du ruisseau.

Autre arrêt du Mariazellerbahn qui peut être rejoint depuis l’étape : Loich.

Etape 8 : Kirchberg – Rabenstein

22 km (12,5 km sur la 652). Sur cette étape quelques bonnes côtes et comme toujours de superbes paysages. On longe plusieurs petits cours d’eau pleins de charme. Notre route nous fait aussi rencontrer deux arbres remarquables classés patrimoine naturel. Pour rejoindre la 652 depuis la gare de Kirchberg, suivez les panneaux de rando indiquant la Karlswarte pour rejoindre le ruisseau de Sois. A la fin, pour rejoindre la gare de Rabenstein, suivez les chemins n°4, 2, 8 et 9 marqués en rouge sur la carte. On les emprunte à partir du grand carrefour de chemin de randonnées situé peu avant le Kaiserkogel. Sur place, un panneau indique la gare « Bahnhof Rabenstein » et on suit les marques bleues et jaunes.

Départ : Gare de Kirchberg an der Pielach, située à 2,5 km de la 652, que l’on rejoint en longeant la rivière Sois.

Arrivée : Arrêt de Rabenstein an der Pielach, situé à 7 km de la 652, que l’on suit jusqu’au carrefour des chemins de randonnées situé avant le Kaiserkogel.

Tampons : Au lieu-dit Stein et au lieu-dit Oberer Kirchner.

Autres arrêts du Mariazellerbahn qui peuvent être rejoints depuis l’étape : Steinschal-Tradigist et Steinklamm.

Etape 9 : Rabenstein – Ober-Grafendorf

23,5 km (16,5 km sur la 652). Une étape qui culmine au Kaiserkogel et d’où on perçoit bien que la plaine du Danube n’est pas si loin. Une côte un peu raide pour accéder à la 652, mais le reste de l’étape est loin d’être difficile. A l’arrêt de Rabenstein, vous verrez un panneau de rando indiquant le Kaiserkogel et la rando 652.

Départ : Arrêt de Rabenstein an der Pielach, situé à 7 km de la 652, que l’on rejoint au carrefour des chemins de randonnées situé avant le Kaiserkogel.

Arrivée : Gare d’Ober-Grafendorf.

Tampons : A l’auberge du Kaiserkogel et au pied du Luberger Mostkeller à Hading.

Autres arrêts du Mariazellerbahn qui peuvent être rejoints depuis l’étape : Hofstetten-Grünau, Kammerhof, Weinburg et Klangen.

J’espère que cet article vous donnera envie d’arpenter les chemin du tour de la vallée de la Pielach !

Autres randonnées à étapes

Grande randonnée de la ligne de chemin de fer de Semmering (Bahnwanderweg)

La randonnée du 1er aqueduc de Vienne

Le tour de la Wachau à pied (Welterbesteig Wachau)

Les randonnées de la ville de Vienne (Stadtwanderwege)

Le rundumadum : le tour de Vienne à pied

Partagez cet article

Vous pourriez également aimer...